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Cybersécurité : l’armée française cherche 20 combattants du numérique en partie formés à Nîmes ou Balma

L’armée de Terre met en place, pour la première fois, une formation spécifique au sein du campus Ynov Bordeaux, dédiée au recrutement de ses « combattants du numérique ». L’alternance peut être effectuée en Occitanie.

Ynov, l’école des métiers du digital de Bordeaux, qui a aussi des campus à Montpellier et Toulouse, va accueillir une formation spécifique à l’armée de Terre française. Une année « à la fois militaire et académique, dispensée en alternance entre Ynov et des unités de l’armée de Terre, délivrant un titre niveau Bac + 2, précise le service recrutement. Les étudiants seront directement recrutés en tant que sous-officier dans l’unité où ils auront effectué leur alternance ». 
Si le lieu de formation est Bordeaux, l’alternance peut être effectuée dans des unités d’Occitanie : à Nîmes, dans le Gard, ou à Balma, en Haute-Garonne.

Vingt places disponibles

L’armée de Terre annonce une formation rémunérée à hauteur de 1 100 euros mensuels au titre du statut d’apprenti « ainsi que la solde de réserviste de 45 euros/jour à raison de 40 jours dans l’année ». Les étudiants, nourris et logés durant leur période d’alternance, « seront également éligibles à l’Allocation financière spécifique de formation d’un montant de 4 000 euros qu’ils toucheront en septembre 2025 ».

Les étudiants seront formés, en un an, à notamment « installer, sécuriser et veiller au bon fonctionnement des systèmes informatiques et des progiciels que l’on trouve dans les régiments, les états-majors ou les directions centrales ». À l’issue, les postes proposés sont sergent ou sergent-chef avant d’intégrer potentiellement la catégorie des officiers.

Pour postuler, l’armée de Terre demande un niveau Bac (scientifique, STI2D ou Pro) et un courrier de motivation à laure.morgant@ynov.com avant le 20 juin 2025.

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Cédric

Depuis 1998, je poursuis une introspection constante qui m’a conduit à analyser les mécanismes de l’information, de la manipulation et du pouvoir symbolique. Mon engagement est clair : défendre la vérité, outiller les citoyens, et sécuriser les espaces numériques. Spécialiste en analyse des médias, en enquêtes sensibles et en cybersécurité, je mets mes compétences au service de projets éducatifs et sociaux, via l’association Artia13. On me décrit comme quelqu’un de méthodique, engagé, intuitif et lucide. Je crois profondément qu’une société informée est une société plus libre.

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