Sur la piste d’Irina G., la mystérieuse Russe aux business suisses douteux

Opérations

Depuis plus de trois ans, la Suisse applique des sanctions contre la Russie et ses relais d’influence. Le cas de la binationale Irina G.* montre à quel point ce dispositif est perméable, et combien il est difficile de colmater ses failles.

Image: Illustration: Oliver Marx

Depuis plus de trois ans, la Suisse applique des sanctions contre la Russie et ses relais d’influence. Le cas de la binationale Irina G.* montre à quel point ce dispositif est perméable, et combien il est difficile de colmater ses failles.

Kurt Pelda / ch media

La porte d’à côté est entrouverte. Je frappe, puis entre dans une grande pièce équipée d’une cuisine et d’un coin salon. Un peu plus loin, un espace de conférence et plusieurs portes de bureaux. Je frappe encore une fois.

Je suis accueillie par deux employées d’autres sociétés. Elles ne connaissent ni Irina G. ni Nanotech Swiss. Elles me renvoient vers l’administration de l’immeuble, située dans les mêmes locaux.


(Lire sur https://www.watson.ch/fr )

Auteur : Kurt Pelda / ch media

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Cédric

Depuis 1998, je poursuis une introspection constante qui m’a conduit à analyser les mécanismes de l’information, de la manipulation et du pouvoir symbolique. Mon engagement est clair : défendre la vérité, outiller les citoyens, et sécuriser les espaces numériques. Spécialiste en analyse des médias, en enquêtes sensibles et en cybersécurité, je mets mes compétences au service de projets éducatifs et sociaux, via l’association Artia13. On me décrit comme quelqu’un de méthodique, engagé, intuitif et lucide. Je crois profondément qu’une société informée est une société plus libre.

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